Scénaro insolite

KIOUKIOU TOUT LE MONDE !!!!! ça faisait longtemps ^^

je paris que vous vous souvenez même pas de moi ^^" ( alalala, y'a des fois où je n'est pas du tout l'impression d'être un intrus dans le petit groupe de néhidrouné )

je me dépêche de révéler les raisons de cette réapparition soudaine avant de m'écrouler sur ce pauvre petit clavier qui n'a rien demandé à personne ( y'a des fois où je me dis que a doit être dur la vie de clavier : on passe son temps à se faire taper dessus. Bon, c'est pas grave, je continu quand même ). C'était juste parce j'avais commencé l'introduction d'un de mes scénario pour pitits mangas ( tetete rester continuez à lire )

D'autant plus que c'est sans doute un des scénario les moins recherché que j'ai imaginé à ce jour. En fait je mettait mis à inventer ce NAMES pour pouvoir dessiner des planches le plus vite possible étant donné que je sombre toujours dans des scénarios complexes, biscornus et fantaisiste. à cause de cela, je ne me décide jamais à représenter toute ces idées. c'est pourquoi j'ai fait le scénario qui, à mes yeux, est le plus simplicime au monde ^^"


Mais paradoxalement c'est le seul que je me décide à poster sur ce forum ( Les forumeurs alcooliques qui peuplent les lieux me font peur XD ), d'où le nom de " scénario insolite "

Et là vous devez vous dire " c'est bien beau tout ça mais qu'est ce que ça vient faire dans la choucroute ? ". Eh ben y'a un rapport avec le dessi, petit néphidrouminou, je vais, le plus vite possible dessiner les planches ( en m'appliquant cette fois ^^""""" )




Bon aller je lâche le tout. Libre à vous de le lire, mais j'ai crus comprendre qu'il y avait dans les parages un certain forumeur qui est doué en cette matière. S'il pouvais me donner son avis ça serrais sympa ^^






LA PITITE INTRODUCTION :




" Sur l'île de Kuzai, la classe social des individus n'est non pas déterminé par notre travail mais par les concours que l'ont a gagnés.
Il existent une quantité abondante de concours mais seulement 3 d'entre eux sont considéré comme les " Honorables "
Chaque Honorables se déroule tout les trois ans. Il y a l'Honorable de Aïku ( Sport favori de l'île de Kuzaï. " Kuzaï découle d'ailleurs de l'anagramme de Aïku ), des Belliqueux et des Lames.
Cette année, c'est l'Honorable des Lames. "

C'était la nuit des dernières inscription pour l'Honorable. Ma barque flotter doucement sur la rivières des Mélas, laissant le courant prendre le gouvernail. Il faisait nuit et on ne pouvez rien distinguer dans l'épaisse jungle qui m'entourais. Ma barque entra dans ce qui semblait entrer une grotte, la lune n'éclairait plus la flore des ses doux rayons. Ma lanterne n'éclairait que l'eau d'encre qui lentement me berçait.
Inopinément, la barque s'arrêta dans une douceur, j'eus l'impression que l'eau voulais mimer la soie.
Je descendis pour voir de quoi il en retournait quand, au contacte de mes pieds, nus dans mes tongs, l'eau se métamorphosa en vapeur lumineuse qui éblouie mes yeux, habitués à l'obscurité.
Ma cécité s'en alla aussi vite qu'elle était venue et je vis une grande salle éclairée par la vapeur que le plafond bloquait. A ma droite, une femme derrière un comptoir me salua :
- Ah, Bonsoir ! Vous venez vous inscrire ?
Je m'avança vers elle
- Heu oui
- Bien ! Je vous demanderais de présenter votre nom, prénom et sabre
- Je m'appel Maimento Osser, je lui tendit mon arme, et mon sabre est une katana de 70 cm
- D'accord, Entrez ici dit-elle en me désignant une étrange flaque vert foncé.
Je mis mon pied dans ce qui me semblait être une excavation mais, ne trouvant pas le fond, je m'engouffra bien contre mon grès dans cette étonnant récipient aqueux qui semblait mesurer à peut prés deux mètres de profondeur et qui avait un diamètre convenant à un être humain aux larges épaules. Curieusement je ne fut pas mouillé, c'était comme si j'avais pénétré dans une ostéocolle géante. Néanmoins, ma curiosité fut stoppé net par une eau glacée qui me coulée le long du visage pour remplir en un quart de seconde le fine couche d'air qui séparait mon corps de la gelée verte. Sous mes pied, le fond de cette étrange boyau se dévoila. Aussitôt mon corps se soumit au lois de la gravitation et je m'étala sur quelque chose de moue.
Je me releva et je vis que cette chose qui avait doucement arrêté ma chute était une épaisse gelée verte qui était elle aussi encastrée dans le sol.

Plus jamais je ne gouterais de ce met

Je me releva, le contenu du " tube digestif " dans lequel je m'étais trouvé quelques secondes auparavant gisait sur le matelas luisant. La gélatine vert foncé rejoignit sa collègue mais le liquide glacée restait impassible. Et pour cause, il avait conservé la forme qu'il m'avait moulée et se présentait sous la forme d'une mue aillant des airs de statue translucide.
- Bien le bonjour ! Dit une voix clair est radieuse.
Je me retourna et vis une une femme qui semblait être la réplique exacte de celle qui m'avait accueillie auparavant.
- Vous avez l'air perdu, puis-je vous renseigné ?
- Heu ... Je viens de me faire digéré et excrémenter
- Ah ! Vous n'aviez jamais participé à un Honorables ? Excusez-moi dit-elle d'un air enjoué.
Elle s'approcha de moi et dégaina un index affriolant. Je rougis mais mon fantasme fût bien court puisqu'elle me dépassa et frôla du doigt mon mannequin aqueux." L'eau " se compressa et donna une petite effigie de ma personne. Elle l'a pris délicatement entre ses doigt et piqua la tête d'une aiguille, sortie une petit bar couleur ocre de sa poche et l'enfonça dans le canal que le pic avait creusée.
Je contemplais ce spectacle d'un air d'autruche. Ce qui était frappant c'est la rapidité et le raffinement de ses actes : en trois seconde, un déchainement d'opérations les plus obscurs les une que les autres s'était produit.
Elle se tourna vers moi et m'appuya mon effigie contre le thorax
- Ceci va être votre " carte d'identité " pendant le concours. Cette statuette contient tout les données vous concernant
Son doigt appuya vigoureusement sur l'effigie. La petite bar de fer jaune s'étira et entoura largement mon coup avant de se resserrer pour créer un collier dûment ajuster.
En regardant de plus prés ma figurine qui pendait désormais à mon coup, je me rendis compte qu'une multitude de petite barres noir s'étalaient sur ce qui avait moulé mon sabre. C'était sans doute se qui précisait mon coordonnées.
- Excusez-moi, où se déroule l'Honorable ?
- Oh ! C'est vrai, ici même.
La jeune femme me désignât l'autre partie de la salle que je n'avais pas encore remarqué, bien qu'elle soit assez remarquable : un épaisse broussaille semblait surgir des dalles et remplissait la moitié de la pièce.
- merci dis-je en m'avançant vers les maquis qui semblait ... respirer.
Arrivé en face des épais buissons j'avançai la main. Au moment où mon index toucha les feuilles, les battements végétatifs s'immobilisèrent. Mon cœur sembla faire de même, ce qui m'aurais habituellement rassurais commençais à me terrifier. Puis soudain les branches s'enroulèrent autour de mon bras et me tirèrent à brûle-pourpoint dans leur antre floral. La célérité fut telle que mes doigts ne purent retenir mon sabre qui glissa et tomba sur le sol.
Horreur
Mais les buissons ne sont pas reconnu pour leur bonté et ne me laissèrent pas le temps d'entendre le tintement de mon sabre sur le carrelage. Ils me propulsaient à toute allure dans un circuit endiablé. La flore masquait la lumière, m'empêchant de voir où j'étais amené. Les branches ne me touchaient presque pas si ce n'est pour me propulser à droite, à gauche, en haut, en bas. Heureusement que je n'est pas eus la brillante idée de gober toute la gélatine verdâtre que j'avais vus

Au bout d'une quelques minutes qui me parurent interminables, les buissons me recrachèrent. Je m'étala sur le nouveaux sol en imitant habilement la serpillère. Un mal de tête profond m'inonda mais la froideur du sol évapora les maux. J'ouvrais les yeux : c'était du carrelage. Mais il y avait quelque chose d'étrange, un liquide d'une couleur cramoisie. Un tintement se produit. Je releva la tête et vis que mon sabre avais aussi était éjecté par les buissons. J'aurais dus sourire mais ce que j'avais entraperçu en relevant la tête m'avais épouvanté. Je risqua un regard en face de moi.





Vila !! merki d'avoir lus ^^

Waoh le pavé... moi je dit tant mieu!

Bon je vais copier coller tout ça et je prendrais le temps de le lire au chaud, dans ma chambre de foyer de jeunes travailleurs (Bouhouhou)

T'as trouvé un dessinateur Mukachiki?